lundi 29 décembre 2008

Ce n'est pas de moi, ce n'est pas pour moi, et en plus ça fait mal.

La fille de joie est seule
Au coin de la rue là-bas
Les filles qui font la gueule
Les hommes n'en veulent pas
Et tant pis si elle crève
Son homme ne reviendra plus
Adieux tous les beaux rêves
Sa vie, elle est foutue

C'est des souvenirs, des regrets, une boule au ventre.
Je m'en veux d'y penser encore.
C'est si loin et si proche.
Jsuis pas guérie.

C'est étrange.
Je veux et ne veux pas oublier ça.
Je peux et ne peux pas.
La déflagration est encore si proche.
Elle a été si brutale...

Une troupe c'est un peu comme un namoureux.
On n'en sort jamais vraiment indemne de ce genre d'histoire...

Un namoureux c'est un peu comme c'te troupe.
On y pense souvent, ça fait encore mal.
On essaye de prendre de ses nouvelles sans qu'il s'en apperçoive.
On lui balance des signaux par dizaines en sachant pertinemment qu'on se fait du mal.
Les signaux arrivent souvent chez le récepteur mais il ne répond pas.
C'est tant mieux comme ça?

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