Je voudrais vous écrire une page remplie d'amour à vous, mes amis.
Je voudrais vous téléphoner tous les jours, vous inonder de messages, de mails...
Que vous sachiez que je vous aime, que je pense à vous.
Même si ce n'est jamais moi qui appelle pour prendre des nouvelles, même si ce n'est jamais moi qui organise les retrouvailles.
Je me repose sur vous. Je pose ma tête là, juste au creux de votre épaule et ça me berce.
Comme une enfant, comme un poussin, comme un oiseau déplumé, comme un moineau.
Mais malgré tout je suis là. Malgré tout mes pensées se tournent toujours vers vous. C'est vous en fond d'écran. C'est vous...
Il y en a peu. Très peu. De véritables amis qui comptent autant...
Vous me manquez et je desespère de pas avoir de conversations plus longues avec certains.
mercredi 30 décembre 2009
mardi 29 décembre 2009
Un 29 Décembre.
Décider de tourner une page. Encore.
Une bien lourde, bien douloureuse.
Je me répète mais que voulez-vous? Quand on n'évolue pas, on fait du sur-place.
Je me répète mais que voulez-vous? Quand on n'évolue pas, on fait du sur-place.
Mais c'est décidé. Il n'y a plus de temps à perdre. Il faut changer. Avoir peur mais changer.
Car c'est toujours le noir qui nous attend.
La tristesse et la solitude d'une chambre, de draps froids.
Le prozac ne sera plus utilisé. Le lexomil non plus.
Les toiles d'araignées et les moisissures seront balayées.
Une année de douleur mise au placard en quelques semaines.
Arrêter de s'accrocher désespérément à des chimères, à des mirages.
Ne plus faire semblant de ne rien voir.
Affronter, petit à petit.
Le moindre encourage vers le plus.
Décrocher les cadavres du placard et leur faire une sépulture.
Laisser couler la pluie tant retenue pour retrouver le soleil.
Ne plus se voiler la face et accepter sa condition. Ses névroses. Sa famille. Sa vie.
Tenter d'arrêter de se plaindre même si la difficulté est là.
Arrêter de se réfugier dans la fraîcheur de la nuit, autour d'une cigarette pour fuir la fête.
Y participer. Et ce, activement.
Parler à coeur ouvert, arrêter les sourires factices.
Nourrir les poissons, donner de l'eau aux plantes, dépoussiérer, trier, ranger.
Faire du vide pour respirer et garder espoir pour cette nouvelle année.
Tout faire pour ne pas couler, se noyer, plonger.
La nuit est noire, sans étoiles.
Dommage, j'aurais aimé apercevoir ton visage avant de fermer les yeux sur mes malheurs.
Marilou à jamais.
Inscription à :
Articles (Atom)